Publié le: 4 juillet 2014

Swiss Finish ? Sans façon !

coûts de la régulation – Pourquoi aller plus vite que le vent.

« Est-ce que je peux en reprendre encore petit morceau ? C’est en substance ce que semble demander ceux qui recommandent d’adopter les normes et le droit européen à la lettre, même au pied de la lettre (Gewerbezeitung, 4 juillet, page 3 à lire sur le site sgv-usam.ch). Car qu’il s’agisse de denrées alimentaires, de loi sur le tabac, d’épineuses ques­tions liées à la législation sur les cartels, voire même au blanchiment d’argent, l’attitude est la même. On court plus vite que vent, on se la joue constamment en mode sur­adapté. Tout est instantanément adapté, traduit et mis en œuvre. On est prêt à jouer les cobayes en prenant même une longueur d’avance, ­quitte à laisser les membres de l’Union temporiser un brin avant d’adopter leurs propres lois. En page trois, le Journal des arts et métiers fait le point avec Jean-René Fournier. Le vice-président de l’usam, conseiller aux Etats valaisans, revient sur les circonstances qui l’ont conduit à proposer un postulat permettant de limiter les coûts de la régulation.

Coûts de la régulation :

tout faire pour qu’ils baissent

Ces derniers n’en finissent pas d’étrangler le portemonnaie et l’agenda des PME. Le temps pris pour s’adapter aux normes, ordonnances, lois, réglementations en tout genre a fini par prendre tellement d’ampleur que l’économie suisse dans son ensemble semble menacée. Ce thème a pris de l’ampleur à l’usam, à tel point qu’il est devenu un objectif stratégique de tout premier plan.

Lire page 3

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