Les réfugiés ont le droit de travailler et se préparent au marché du travail grâce à diverses formations. Ils sont accompagnés par des coachs professionnels. Les entreprises disposent ainsi d’interlocuteurs qui les aident dans le recrutement, les questions administratives et leur apportent du soutien. Les réfugiés font partie du potentiel de main-d’œuvre national, au même titre que les Suisses à la recherche d’un emploi. Tout comme les autres étrangers titulaires d’un permis de séjour ou établis en Suisse. Il s’agit de personnes titulaires des permis B, F et S. Réfugiés et migrants peuvent compenser les pénuries de main-d’œuvre, favoriser la cohésion sociale et contribuer à réduire les coûts de l’aide sociale. Le délégué à l’intégration sur le marché du travail du DFJP lance une série de webinaires courts, en collaboration avec l’usam et l’Union patronale suisse.

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L’usam demandait (mars 2025) un renforcement de la culture générale dans les écoles professionnelles et le maintien de l’examen final. Le Canton de Berne vient d’annoncer que les écoles professionnelles bernoises maintiendront les examens écrits pour le cours de culture générale. «Dans les écoles professionnelles (...) à partir d’août 2026, l’enseignement dispensé aux personnes en première année d’apprentissage sera soumis à de nouvelles directives. Le SEFRI a donné la possibilité aux cantons de choisir entre deux variantes pour l’examen final de l’enseignement de la culture générale: une épreuve écrite de 150 minutes ou une épreuve orale de 20 minutes. Le Canton de Berne a choisi l’épreuve écrite (...) la note sanctionnant l’enseignement de la culture générale se composera pour un tiers de la note de contrôle continu, pour un tiers du travail final, présentation comprise, et pour un tiers de l’examen final écrit.»

Lire notre article sur cette question:

À partir de l’interview parue dans le JAM en juin, une version expurgée de certaines erreurs factuelles reparaîtra sur le site en ligne du JAM. En attendant, voici déjà pour nos lecteurs la nouvelle version, disponible sur le réseau social LinkedIn. Laurence Jobin est devenue présidente de l’association Femmes PME Suisse romande. Elle gère avec son mari un domaine arboricole et agricole à Échichens (VD). Affiliée dès les débuts de l’association en 2014, elle entend donner un nouveau souffle au brevet fédéral de spécialiste en PME.