Publié le: 8 mai 2015

« Billag, nous ne voulons et ne pouvons pas
le payer!»

ATTENTION, PIÈGE FISCAL

Hallucinant! Vous et moi travaillons désormais plus de 6 mois par année rien que pour payer les impôts et les taxes! Et maintenant, l’Etat veut transformer la redevance radio/TV en taxe pour tous, même pour les personnes sans récepteur. Que certaines ne suivent pas les programmes ou ne soient pas en mesure d’écouter ou de regarder les émissions, la nouvelle loi s’en moque. Tout le monde doit payer – sans exception.

Pire, le nouvel impôt Billag sur les médias est un piège fiscal. La fausse promesse d’une légère baisse de la redevance se transformera vite en une lourde taxe pour tous. Voici le piège!

Plus grave encore, on appâte le votant en lui faisant croire à une réduction de la redevance Billag de 60 francs. En mordant à cet hameçon, les concitoyens donnent au Conseil fédéral tout pouvoir d’augmenter 
cette redevance à son gré, puisque la nouvelle loi empêche le Parlement ou le peuple de s’y interposer! C’est comme si l’on signait un chèque en blanc, impossible de s’y opposer par la suite. Nulle part ailleurs dans le système législatif, une loi ne délivre à nos autorités un tel pouvoir d’augmenter un impôt. Or, ce qui est certain: si le nouveau système entre en vigueur, le nouvel impôt Billag sur les médias augmentera rapidement.

Nous payons déjà des impôts fédéraux, cantonaux, communaux, paroissiaux, des taxes sur les carburants, sur le tabac, etc., etc. Encore un de plus? Non, trop c’est trop!

 

Doris et 
Beat Baumberger 
avec leur enfants 
Sarah et Marc, 
fleuristes et 
paysagistes:

 

«Le nouvel impôt sur les médias Billa est d’une insolence rare! Cela n’est pas admissible et cela ne devrait plus être possible de lever encore et toujours de nouveaux impôts. En tant que famille, la charge fiscale est déjà suffisamment écrasante! Nous travaillons déjà plus de la moitié de l’année pour l’Etat. Et maintenant, nous devrions en plus être doublement imposé pour la TV et la radio? Nous avons une entreprise familiale. Et puis, en tant que famille, nous 
payons Billag à la maison. Chaque membre de notre team de neuf personnes verse déjà 462 francs à titre privé. Pourquoi devrions payer 1000 francs de plus comme entreprise imposée sur le chiffre d’affaires? C’est une arnaque et une fabrique à billets pour la SSR. Cette dernière va encore enfler et se gonfler avec ce nouvel impôt. En revanche, nous serons tout simplement pressés comme des ci­trons!»

Dans la construction, 
Samuel Schmid:

«A titre privé, je paie déjà les factures Billag et ces dernières sont bien trop élevées. A mon avis, ils de­vraient plutôt essayer d’améliorer leurs 
finances grâce aux interruptions publicitaires. Qu’il lance maintenant un nouvel impôt sur les médias Billag et que je doive payer alors que je ne souhaite pas recevoir les émissions de radio et de TV, c’est juste inacceptable! Et en plus nous devrions 
payer deux fois, entre la maison et l’entreprise. Je travaille dans le 
monde de la construction. Et tout le monde sait bien qu’il faut faire attention et que ce n’est possible d’écouter la radio ou de regarder la TV sur un chantier. Je n’entendrais rien aux bruits environnants si j’écoutais la radio ou de la musique. Comme le travail à la pêle mécanique ou au marteau à air comprimé sont très bruyants, je doit porter des protections auriculaires et me concentrer. Impossible d’écouter la radio ou de regarder la TV. Et en plus, c’est formellement interdit. Sur le

panneau de la SUVA figure

une grosse interdiction.

La musique est réel-

lement interdite sur

le lieu de travail.

Ce qui se com-

prend! Mais

pourquoi mon

entreprise

devrait payer

sur le lieu de

travail pour une

prestation qui

n’est pas utilisée

et qui est même

interdite? Si l’impôt

continue à grimper,

je ne pourrai plus

me l’offrir. Il faut

dire que 400 francs,

c’est beaucoup.

Si cela augmente,

je n’aurai plus

le choix!»

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