Publié le: 5 juin 2015

L’état d’esprit du bon manager

Management – Les bons collaborateurs sont recherchés. De la difficulté de gérer une équipe. Voici une série de conseils pour vous permettre d’aborder le sujet en toute confiance.

Le rêve d’un bon nombre de collaborateurs. Vous devez reprendre la direction d’un département. Bien que la tâche soit un honneur et une grande preuve de confiance de la direction, un brin d’incertitude n’est pas à exclure. C’est ce que pense Georg Kaiser dans le Süddeutschen Zeitung. Il donne des tuyaux aux preneurs d’emplois pour leur simplifier la vie de tous les jours et travailler avec méthode.

Ensemble vers un but

Il arrive souvent que les nouveaux cadres ne trouvent pas facile de prendre leurs marques. Le département vient d’être restructuré, les collaborateurs sont usés, démotivés. Tout cela est une conséquence du manque de direction ou de sens des mesures prises. «Souvent, la communication verticale est inadéquate», relève Georg Kaiser. «Donner un nouveau drive aux collaborateurs ne peut se faire qu’en étant avec eux.»

Changement step-by-step

Pour commencer, ne pas tout changer en même temps. Savoir raison garder, cela veut dire avancer pas à pas. C’est la seule manière de rendre le changement effectif et d’impliquer les collaborateurs vers un objectif partagé. «Expliquez à vos collaborateurs, dès le premier jour, selon quelles valeurs et quels principes vous dirigez, quelles sont vos attentes et quelles décisions et quelles marges de manœuvre vous souhaiteriez leur accorder», précise Georg Kaiser. De la sorte, chaque collaborateur peut s’identifier à sa tâche et s’assurer que, ce faisant, les buts fixés par le manager seront atteints. Avant tout, ce dernier incarnera des valeurs positives.

Besoin de soutien dès l’arrivée

«Comme vous êtes nouveau dans un département, vous êtes dépendant du know-how et du soutien de vos collaborateurs. Cette situation peut être tirée à votre avantage. Demandez-vous pourquoi cette procédure a-t-elle été choisie et pourquoi les choses ne se font pas différemment», analyse Georg Kaiser.

Des situation inadéquates ou des mesures peu claires appellent un examen critique qui devrait être partagé avec les collaborateurs, ces derniers seront pris comme bon exemple. De la sorte, on évitera à l’avenir de nouvelles erreurs et l’on mettra sur pied une culture de l’apprentissage. Ce faisant, on permettra aussi l’émergence d’une plus grand identification des employés à leur tâche. Et, last but not least, on valorisera la patience, la détermination et la persévérance de son team.

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