Le Conseil national opte pour le moindre mal – mais une réforme structurelle de l’AVS s’impose
La campagne des jeunes Romands
no Billag – Thomas Birbaum, du comité «No Billag Romandie», relève que le 
modèle de financement lié à la redevance souffre d’obsolescence.
« Pourquoi devrions-nous payer pour une prestation que nous n’utilisons pas et que nous n’avons même pas demandée? » C’est la question que se posent de nombreux jeunes, qui ont ainsi décidé de voter OUI à « No Billag » le 4 mars prochain. A l’instar de Thomas Birbaum, membre du comité « No Billag Romandie »: « Le modèle de financement par la redevance Billag, qui deviendra une taxe Billag, est obsolète. Avec l’innovation technologique, les moyens de regarder la télévision suisse se sont démultipliés. » Pour ce jeune politicien, que ce soit sur votre ordinateur, votre téléphone ou encore votre tablette, il existe aujourd’hui une multitude de canaux. La réponse du législateur dans la loi fédérale RTV votée en 2015 à cette innovation se résume à : « Taxons tout le monde ! Et les entreprises plus que les autres ! ». Pourtant cette même innovation technologique permet maintenant d’exclure ceux qui ne veulent pas regarder les chaînes de la SSR, transformant par là un bien public en bien privé. »  usam
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Communiqués de presse
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