Le 3 mai dernier à Berne, comme tous les deux ans, l’usam a renouvelé ses organes, dont le Comité directeur (lire ci-contre). En présentant sa stratégie et ses objectifs pour la période 2022-2026, la faîtière des PME en a profité pour préparer la suite et revenir sur quelques succès. Dans son adresse, Fabio Regazi, président réélu et conseiller national (Le Centre/TI) a qualifié l’élaboration d’un frein aux coûts de la réglementation et la loi sur l’allègement des charges des entreprises de succès important pour le travail politique de l’usam (lire l’interview «Durabilité: de notre plein gré» avec Fabio Regazzi, président réélu de l’Union suisse des arts et métiers.). Mais pour que ce succès se concrétise dans la pratique, il faudrait convaincre le Parlement et le peuple sur des projets concrets, en particulier dans les assurances sociales. «La réforme de l’AVS doit réussir», a lancé Fabio Regazzi. En ce qui concerne la LPP, le président de l’usam a une nouvelle fois critiqué le «soi-disant compromis des partenaires sociaux – un modèle des syndicats soutenu par l’Union patronale suisse, qui ne nous a pas convaincus dès le départ.» En

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