Un mix énergétique ouvert à toutes les technologies: l'énergie nucléaire reste essentielle pour les PME suisses
Vite, ne nous laissons pas ralentir!
TRAFIC D’AGGLOMéRATION – Selon les perspectives de trafic du gouvernement fédéral pour 2040, la concentration des emplois 
autour des centres continuera d’augmenter. Et avec elle le trafic. Il est donc devenu urgent d’intervenir.
Environ 84% de la production économique est générée dans les villes et les agglomérations. Les employés se concentrent également de plus en plus sur les zones urbaines. Les trois quarts de la population suisse vivent dans une agglomération, quatre employés sur cinq en Suisse y travaillent. Selon les perspectives de trafic tracées par la Confédération pour 2040, la concentration des emplois autour des centres continuera d’augmenter. Cela correspond aux objectifs du développement spatial suisse.
Le trafic continue d’augmenter
Il est donc essentiel de faire face à l’augmentation du trafic dans les agglomérations. C’est là que la plupart des passagers-kilomètres sont couverts. Le financement des infrastructures de transport relève de la responsabilité des communes et des cantons, mais aussi de la Confédération. Celle-ci contribue aux infrastructures de transport qui conduisent à un système de transport global plus efficace et durable dans ces zones et contribue à un développement spatial durable grâce à une planification cohérente des transports, de l’habitat et du paysage. «Dès lors que 84% de la production économique est générée dans les villes et sans répit, une aide d’urgence est devenue nécessaire.»
Les ressources financières doivent ĂŞtre utilisĂ©es de telle sorte que la 
qualitĂ© du système de transport s’amĂ©liore, que le dĂ©veloppement de l’habitat soit davantage tournĂ© vers l’intĂ©rieur, que la pollution de l’enviÂronnement et la consommation des ressources soient rĂ©duites et que la sĂ©curitĂ© des transports soit accrue.
Réduire les embouteillages
Il existe des projets dans les quatre catégories de transport privé motorisé, de trafic non motorisé et de transport public, ainsi qu’en relation avec les interfaces de ces catégories. L’usam soutient cette approche, mais formulera un certain nombre de demandes au cours du processus de consultation, qui se poursuivra jusqu’à la fin du mois d’avril.
n L’accent est mis sur la création d’une capacité routière pour faire face à l’augmentation des flux de trafic. D’abord et avant tout, il faut désamorcer les goulets d’étranglement et réduire le nombre d’heures de congestion. On peut y parvenir en améliorant les axes de transit ou en créant des routes de contournement.
n Les mesures appropriĂ©es en faveur des transports urbains doivent ĂŞtre coordonnĂ©es avec les Ă©tapes du Programme stratĂ©gique pour le dĂ©veÂloppement des routes nationales.
n La fluidité du trafic doit être garantie pour le trafic motorisé individuel. La sgv rejette l’introduction de zones de vitesse à 30 km/h sur les routes de transit.
Les projets proposés impliquent des contributions fédérales de 1,12 milliard de francs. L’usam approuvera le montant dans le cadre de la procédure de consultation en cours.
Dieter Kläy, usam
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