Publié le: 3 mars 2023

«Il imprimera sa marque à la culture d’entreprise»

USAM – La Chambre suisse des arts et métiers réunie en février a élu sans opposition Henrique Schneider, qui devrait prendre ses nouvelles fonctions de directeur de l’usam le 1er juillet prochain. Hans-Ulrich Bigler part à la retraite.

Lors de sa séance du 8 février 2023, la Chambre suisse des arts et métiers a élu, sans opposition, Henrique Schneider en qualité de nouveau directeur de l’usam. L’économiste succédera le 1er juillet à Hans-Ulrich Bigler, actuel directeur, qui quittera ses fonctions pour raison d’âge.

En poste depuis quinze ans, Hans-Ulrich Bigler, actuel directeur, quittera ses fonctions le 30 juin 2023, ayant atteint l’âge ordinaire de la retraite. Lors de sa séance du 16 janvier dernier, le Comité directeur de l’Union suisse des arts et métiers (usam) avait réglé la succession du directeur. Économiste, Henrique Schneider travaille pour l’usam depuis 2010 – depuis 2015 en tant que directeur adjoint et responsable des dossiers politique économique et durabilité.

«Au cours des différentes étapes du processus de recrutement qui a duré plusieurs mois, Henrique Schneider a convaincu par sa sagacité, son intégrité et ses compétences professionnelles», explique l’usam dans un communiqué. Tout au long des dernières années, il a marqué l’usam de son empreinte. Il possède un excellent bilan et est capable de défendre les positions de l’organisation de manière convaincante tant à l’interne qu’à l’externe. Le Comité directeur de l’usam est en outre persuadé qu’il saura imprimer sa marque à la culture d’entreprise et au développement du secrétariat. Il est dès lors d’avis que Henrique Schneider est la personne la mieux à même de représenter et défendre les intérêts de l’usam.

OCDE: la Chambre vote oui

Parlement de l’usam, la Chambre suisse des arts et métiers a par ailleurs décidé à l’unanimité de recommander de voter oui au taux d’imposition minimal de l’OCDE, qui sera soumis en votation populaire. Dans la situation actuelle, les grands groupes d’entreprises vont de toute façon être imposés, si ce n’est en Suisse, alors à l’étranger.

«il a convaincu par sa sagacité et son intégrité.»

Il n’est donc pas nécessaire de s’opposer à l’arrêté fédéral, notamment parce que les PME sont épargnées par cette imposition internationale, ont estimé les membres de la Chambre.usam

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