Les organisations faîtières de l’économie et de l’agriculture suisses s’engagent pour la stabilité, la sécurité et des conditions-cadres compétitives. Dans l’optique d’un développement de notre pays orienté vers l’avenir, elles appellent à une participation active aux élections fédérales en soutenant les candidates et candidats favorables à l’économie et à l’agriculture.

Le 22 octobre, la Suisse élira un nouveau Parlement. Ces élections revêtent une grande importance pour l’avenir de notre pays. C’est pourquoi l’Union suisse des arts et métiers, economiesuisse, l’Union patronale suisse et l’Union suisse des paysans s’unissent par le biais de la campagne «Perspective Suisse» pour qu’une composition du Parlement sensible à l’économie et à l’agriculture sorte des urnes.

Prospérité, formation, innovation et développement durable

Pour rappel, cette campagne «Perspective Suisse» a été lancée en octobre 2022 et a mis en évidence, en plusieurs phases et avec différentes mesures, l’importance de l’économie et de l’agriculture et de leurs prestations. L’accent a été mis sur l’importante contribution de ces dernières à la prospérité de notre pays, à des emplois et des places d’apprentissage attrayants, à des denrées alimentaires durables – et à de l’énergie en quantité suffisante –, à des assurances sociales sûres ainsi qu’à la durabilité grâce à l’innovation.

L’objectif de cette collaboration est d’accroître la sensibilité de la population aux questions économiques et agricoles et de faire prendre conscience aux électeurs sensibles à l’artisanat, l’économie et l’agriculture de la nécessité de participer au scrutin. En effet, chaque voix compte. Les élections sont désormais toutes proches. Les présidents ainsi que la directrice et les directeurs des grandes associations économiques appellent donc les milieux favorables à l’économie et à l’agriculture dans tout le pays à participer sans hésiter aux prochaines élections afin d’envoyer des candidates et des candidats favorables à l’économie au Palais fédéral!

Renforcer le camp bourgeois

Il faut davantage de parlementaires favorables aux PME sous la coupole fédérale! À cet effet, l’usam a créé un site Internet sur lequel les candidates et candidats des partis bourgeois aux élections fédérales d’octobre 2023 soutenus par l’usam et ses organisations membres se présentent sur une page de profil. Les pages de profil peuvent faire l’objet de recherches par nom, canton ou parti. Les cantons peuvent aussi être sélectionnés directement sur la carte de la Suisse. Les pages de profil comportent en outre trois catégories distinctes: les membres de la Chambre suisse des arts et métiers (parlement de l’usam), les candidates et candidats favoris et les autres candidates et candidats.

Les candidats certifiés PME:

Philipp Matthias Bregy (CN C/VS): «Les PME forment l’épine dorsale de l’économie suisse. Leurs voix ont leur place au Palais fédéral.»

Damien Cottier (CN PLR/NE): «Les PME sont la colonne vertébrale de notre économie: elles représentent 99% des entreprises suisses! Elles ont besoin d’un cadre réglementaire et fiscal qui les laisse travailler, innover et créer de la valeur ajoutée et de l’emploi.»

Olivier Feller (CN PLR/VD): «Mes lignes d’action au Parlement répondent à des principes qui me tiennent à cœur: la défense d’une fiscalité mesurée et d’un allègement des réglementations pour assurer le développement des PME ainsi que des emplois et des places d’apprentissage, dont elles sont à l’origine; la liberté d’entreprendre et le partenariat social; la lutte contre les dysfonctionnements institutionnels.»

Fabio Regazzi (CN C/TI, cand. CE, prés. usam): «Je suis confronté quotidiennement aux défis et aux problèmes de nos PME. La mission de toute entreprise est de générer des bénéfices, qui peuvent ensuite être réinvestis dans l’emploi, l’innovation et les projets relevant de la responsabilité des entreprises. Mais sans les conditions-cadres nécessaires, cette mission ne peut tout simplement pas être accomplie. Les PME doivent être en mesure d’opérer dans un environnement où règnent la liberté d’entreprise, une concurrence loyale et seulement les réglementations nécessaires au bon fonctionnement des entreprises. Et c’est pour cela que j’ai l’intention de continuer à me battre à Berne: pour nos entreprises, nos emplois, notre bien-être.»

Céline Amaudruz (CN UDC/GE): «Les PME sont la clef de voûte de la prospérité de la Suisse. Notre économie est tissée par un formidable réseau de PME qui garantissent les emplois et les perspectives d’avenir de nombreuses familles. Elles sont le lieu de l’intégration sociale et professionnelle ainsi que le lieu de la formation et de l’innovation. Pas de Suisse prospère sans des PME prospères!»

Philippe Bauer (CE PLR/NE): «Toujours choisir la liberté d’entreprendre, seule garante de la création de richesses.»

Jacqueline de Quattro (CN PLR/VD): «Notre pays doit sa prospérité à nos PME. Leur succès dépend de moins de contraintes et de taxes et de plus de main-d’œuvre qualifiée. Pour répondre à la pénurie de personnel, rendons ses lettres de noblesse à l’apprentissage, encourageons la formation continue et adaptons l’immigration aux besoins de notre économie.»

Vincent Maitre (CN C/GE): «Nos entreprises sont les poumons de la Suisse. Notre prospérité dépendra de l’oxygène que nous leur apporterons. Sans conditions-cadres souples et favorables, c’est la croissance, l’emploi et la solidarité qui seront asphyxiés.»

Pierre-André Page (CN UDC/FR): «À l’écoute des préoccupations de mes concitoyennes et concitoyens, je m’engage, avec pragmatisme, pour leur garantir la sécurité de leurs approvisionnements énergétique et alimentaire. Au plus fort de la crise, j’ai demandé la suppression des taxes sur les huiles minérales afin de réduire les coûts en carburants pour les entrepreneurs. Et je m’engage pour que notre pays puisse assurer sa propre production en énergie, nécessaire à notre économie. Alors que nous prenons, dangereusement, le chemin de tout à l’électrique, parler de l’énergie nucléaire ne doit plus être un tabou!»

Laurent Wehrli (CN PLR/VD): «Les PME sont essentielles pour la Suisse, la vigueur de son économie et la garantie de ses emplois. Les conditions-cadres doivent donc en tenir compte et la bureaucratie être limitée. Comme fondateur et chef de mon entreprise, je le sais et j’agis en fonction.»

Pascale Leutwiler (cand. CN PLR/NE): «Allons à l’essentiel!»

www.certifie-pme.ch

www.perspectivesuisse.ch

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